développée par Samaya, est la première membrane spécialement conçue pour la tente. Elle permet aujourd’hui de proposer des tentes mono-paroi optimisées en termes de respirabilité et de perméabilité à l’air, sans compromis sur l’imperméabilité.
développée par Samaya, est la première membrane spécialement conçue pour la tente. Elle permet aujourd’hui de proposer des tentes mono-paroi optimisées en termes de respirabilité et de perméabilité à l’air, sans compromis sur l’imperméabilité.
développée par Samaya, est la première membrane spécialement conçue pour la tente. Elle permet aujourd’hui de proposer des tentes mono-paroi optimisées en termes de respirabilité et de perméabilité à l’air, sans compromis sur l’imperméabilité.
La majorité des tentes est conçue en double-paroi, soit deux tissus qui séparent l’habitacle de la tente de son environnement extérieur. Samaya est née de la conviction que faire évoluer la tente mono-paroi était la clef pour révolutionner l’équipement de bivouac dans de nombreux usages. Proposer des tentes mono-paroi optimisées sur l’imperméabilité, la respirabilité et la perméabilité à l’air est devenu une obsession pour l’équipe R&D de Samaya.
Avec les bonnes matières, cette conception mono-paroi présente l’avantage d’une réduction significative du poids et du volume plié du fait que la tente mono-paroi requiert par définition moins de tissu que la tente double-paroi. La tente mono-paroi offre par ailleurs une meilleure résistance au vent et aux intempéries du fait de la plus grande solidarité entre les différents éléments de la tente et de l’effet ballon observé en cas de vent par augmentation de la pression sur certaines parties de la tente. Selon les conditions, la facilité au montage comme au démontage peuvent se révéler précieuses.
Les besoins en imperméabilité à l’eau ne sont pas les mêmes pour une veste que pour une tente.
Contrairement à une veste, il n’y a pas de frottement ou de pression exercée directement sur les murs d’une toile de tente. L’équivalent en colonne d’eau générée par une très forte pluie sans frottement est de 2 000 à 3 000 mm[1]. Une imperméabilité de 10 000 mm suffit donc amplement pour la paroi. En revanche, une forte imperméabilité est indispensable pour le sol, en raison de la pression exercée par le poids de l’individu. C’est pourquoi la majorité des sols de nos tentes 4 saisons a une imperméabilité de 20 000 mm.
[1] Le millimètre de colonne d’eau, aussi appelé Schmerber, est une unité de mesure de l’imperméabilité à l’eau des textiles. La valeur associée à des mm de colonne d’eau est obtenue en réalisant un test d’imperméabilité selon la norme ISO811. Ce test consiste à augmenter en continu la pression qu’exerce l’eau (autrement dit, on augmente l’intensité de la pluie) sur un textile. Quand l’eau passe au travers du textile, on note la valeur de pression et on calcule les millimètres de colonne d’eau associés. Cette valeur correspond donc à la valeur limite d’imperméabilité d’un tissu.
Nous distinguons deux phénomènes :
Le renouvellement de l’air grâce à la pression : il correspond au débit d’air qui traverse le tissu sous une certaine pression. Par exemple, s’il y a du vent, un léger flux d’air, imperceptible, entre dans la tente. Cet air extérieur, composé normalement d’oxygène, vient remplacer l’air présent à l’intérieur de la tente, qui a été appauvri en oxygène du fait de la respiration de l’utilisateur.
Le renouvellement de l’air grâce à la diffusion : le phénomène de diffusion est un phénomène naturel correspondant à un étalement, une uniformisation et une homogénéisation de particules et de matières. Celui-ci apparaît soit lors d’un changement de température ou de concentration de matières, soit lors de la rencontre entre deux niveaux différents de température ou de concentration de matières. Le phénomène de diffusion peut s’exercer lorsqu’aucun obstacle n’entrave le transport de particules d’un milieu à un autre. L’utilisateur respirant à l’intérieur de sa tente y réduit inévitablement le taux de concentration d’O2et augmente le taux de CO2. Seule une tente avec des parois perméables à l’air permet un renouvellement de l’air grâce à la diffusion, équilibrant continuellement la concentration en O2 à l’intérieur de la tente.
La respirabilité correspond à la capacité d’un tissu à évacuer la vapeur d’eau. Celle-ci est notamment générée par la respiration puisque nous produisons 800 mL d’eau en 24 heures. De plus, lorsque la température diminue, l’humidité relative de l’air augmente : on stocke donc moins de molécule d’H2O dans le même volume d’air (diagramme de Mollier)[1].
Lorsque l’humidité relative de l’air atteint les 100%, l’air est totalement saturé. La vapeur d’eau de la respiration condense et forme des gouttes. La respirabilité d’un tissu permet ainsi d’évacuer la vapeur d’eau et donc de limiter la condensation. L’élévation de la température dans la tente grâce à la présence humaine et la conservation de cette chaleur permettent aussi de conserver davantage d’humidité sous forme gazeuse, facilitant ainsi son évacuation vers l’extérieur.
[1] Si l’on compare la taille d’une molécule d’air/eau de l’ordre du nanomètre par rapport à l’eau liquide de l’ordre du millimètre, l’eau liquide est 100 000 fois plus grosse que la molécule d’air/eau.
Les tissus membranés permettent de rassembler ces trois caractéristiques indispensables à l’efficacité d’une tente mono-paroi. Une membrane est une structure de faible épaisseur, relativement à sa taille, séparant deux milieux en empêchant tout ou partie de la matière de passer de l'un à l'autre des milieux en fonction de la largeur de ses pores et de son épaisseur. La membrane joue le rôle de filtre pour garantir l’imperméabilité à l’eau, la perméabilité à l’air et la respirabilité de la tente mono-paroi.
Il existe trois grandes familles de membranes avec des propriétés spécifiques :
Les membranes monolithiques qui ne possèdent aucun pore, mais laissent tout de même passer la vapeur d’eau, via un phénomène chimique. Cette membrane absorbe les molécules d’H2O et les rejette de l’autre côté. Ce phénomène est moins efficace car ces membranes ne fonctionnent pas avec des différentiels de pression, notamment le vent.
Les membranes microporeuses qui sont souvent produites en perçant ou en étirant une membrane uniforme (de type monolithique). Ces membranes permettent d’obtenir une bonne imperméabilité à l’eau et une bonne respirabilité. Les trous formés laissent passer les molécules de vapeur d’eau, mais pas les molécules d’eau. Seulement, il est difficile de moduler le rapport entre la perméabilité au gaz et l’imperméabilité à l’eau sur ce type de membranes.
Les membranes électrofilées qui sont obtenues grâce à une projection de nanofilaments. Cela donne naissance à un enchevêtrement aléatoire et donc à une structure majoritairement composée d’air qui est donc extrêmement légère. La membrane électrofilée permet d’obtenir la meilleure combinaison entre imperméabilité à l’eau, perméabilité à l’air et respirabilité.
Les membranes monolithiques qui ne possèdent aucun pore, mais laissent tout de même passer la vapeur d’eau, via un phénomène chimique. Cette membrane absorbe les molécules d’H2O et les rejette de l’autre côté. Ce phénomène est moins efficace car ces membranes ne fonctionnent pas avec des différentiels de pression, notamment le vent.
Les membranes microporeuses qui sont souvent produites en perçant ou en étirant une membrane uniforme (de type monolithique). Ces membranes permettent d’obtenir une bonne imperméabilité à l’eau et une bonne respirabilité. Les trous formés laissent passer les molécules de vapeur d’eau, mais pas les molécules d’eau. Seulement, il est difficile de moduler le rapport entre la perméabilité au gaz et l’imperméabilité à l’eau sur ce type de membranes.
Les membranes électrofilées qui sont obtenues grâce à une projection de nanofilaments. Cela donne naissance à un enchevêtrement aléatoire et donc à une structure majoritairement composée d’air qui est donc extrêmement légère. La membrane électrofilée permet d’obtenir la meilleure combinaison entre imperméabilité à l’eau, perméabilité à l’air et respirabilité.
Pour rendre l’utilisation de la mono-paroi optimale, Samaya s’appuie sur sa technologie Nanovent® développée spécifiquement pour la tente afin de faire face aux enjeux d’imperméabilité, de perméabilité à l’air et de respirabilité.
Pour rendre l’utilisation de la mono-paroi optimale, Samaya s’appuie sur sa technologie Nanovent® développée spécifiquement pour la tente afin de faire face aux enjeux d’imperméabilité, de perméabilité à l’air et de respirabilité.
Pensée pour apporter imperméabilité, respirabilité et perméabilité à l’air dans la tente, la membrane Nanovent® est constituée d’un entrelacement aléatoire de filaments en polyuréthane dont la taille est nanométrique (1 milliard de fois plus petite qu’1 mètre). En gérant la densité de l’entrelacement obtenu par électrofilage, les pores de la membrane sont dimensionnés pour être trop petits pour laisser passer des gouttes d’eau, mais suffisamment larges pour laisser passer de l’air. La technologie Nanovent® assure ainsi une imperméabilité inédite.
Cette membrane électrofilée est associée à deux couches de nylon. La couche interne est un nylon hydrophile permettant, lorsque la condensation apparaît, de diffuser l’eau sur une grande surface et donc de permettre qu’elle sèche plus rapidement. La couche externe est un nylon hydrophobe (traitement déperlant) favorisant l’écoulement fluide de l’eau à sa surface. Ces couches assurent la résistance mécanique de la toile et la protection de la membrane électrofilée. Ce laminé 3 couches équipe les parois des tentes des gammes ALPINE et 8K.
Laminé 3 couches ALPINE
Laminé 3 couches ALPINE
Laminé 3 couches 8K
Pensée pour apporter imperméabilité, respirabilité et perméabilité à l’air dans la tente, la membrane Nanovent® est constituée d’un entrelacement aléatoire de filaments en polyuréthane dont la taille est nanométrique (1 million de fois plus petite qu’1 mètre). En gérant la densité de l’entrelacement obtenu par électrofilage, les pores de la membrane sont dimensionnés pour être trop petits pour laisser passer des gouttes d’eau, mais suffisamment larges pour laisser passer de l’air. La technologie Nanovent® assure ainsi une imperméabilité inédite.
Cette membrane électrofilée est associée à deux couches de nylon. La couche interne est un nylon hydrophile permettant, lorsque la condensation apparaît, de diffuser l’eau sur une grande surface et donc de permettre qu’elle sèche plus rapidement. La couche externe est un nylon hydrophobe (traitement déperlant) favorisant l’écoulement fluide de l’eau à sa surface. Ces couches assurent la résistance mécanique de la toile et la protection de la membrane électrofilée. Ce laminé 3 couches équipe les parois des tentes des gammes ALPINE et 8K.
Laminé 3 couches ALPINE
Laminé 3 couches 8K
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